Dix ans sont passés depuis l’apocalyptique séisme du 12 janvier 2010 | On a tendance à oublier la dimension de la tragédie. La précarité de la plus grande partie de l’habitat est encore plus grande aujourd’hui. Pour se rappeler ce qu’a été ce tremblement de terre et les causes de l’ampleur de ce désastre humain, redécouvrez "Chroniques d’une catastrophe annoncée" et "Port au Prince, mon seul et unique amour". Films à voir absolument pour que le sacrifice de tant de vies n’ait pas été totalement inutile et pour donner à l’avenir peut être un sens au mot résilience qu’on emploie à tort et à travers à propos d’Haiti. |
Ten years have passed since the apocalyptic earthquake of January 12 2010 | We tend to forget the dimension of the tragedy. The precariousness of most of the housing is even greater today. To remember what this earthquake was and the causes of the magnitude of this human disaster, rediscover Arnold Antonin’s films: "Haiti Apocalypse Now” and "Port au Prince, my one and only love". Must-see films so that the sacrifice of so many lives will not be totally useless and may be to give a new meaning to the word resilience which is often used carelessly about Haiti. |